Une soirée victorieuse au Stade du Pré Fleuri
Au bout d'elle-même, l'USON Nevers a su trouver les ressources pour l'emporter contre Béziers, ce vendredi 11 octobre (28-23 BD). Découvrez les réactions.
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Les Interviews
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"On est dans une situation difficile à vivre, avec un groupe qui vit bien. Aujourd'hui, on est payés, tant mieux. On n'a pas été très bons. Toutes nos erreurs individuelles ont été rattrapées par l'équipe. C'est un gros point positif. Il faut continuer. Il ne faut pas accepter d'être dans cette position. C'était un soir de fou. On a eu cette volonté de ne pas prendre d'essai en fin de match. On avait déjà perdu deux matches à la maison, c'est énorme. Il va falloir prendre des points par-ci par-là, pour remonter. On n'a pas été épargnés, avec beaucoup de blessures. Beaucoup de choses font que nous avons été en difficulté. On va intéresser tout le groupe. Je n'ai pas de joueurs exceptionnels, mais un groupe exceptionnel. À un moment donné, je me suis dit : "on se suicide". Maintenant, il faut arriver à mieux jouer au rugby."
Xavier PÉMÉJA
Manager de l'USON Nevers Rugby
"Ouvreur, c'est un poste que j'aime, l'adaptation a été facile. On a bien préparé ce match. Toute l'année, on s'entraîne à plusieurs face aux perches, en cas de blessures. Nos entames de match sont rageantes. On a senti le public un peu en demi-teinte. On n'a pas lâché, et ça a fait la différence. C'était important, mentalement, de ne pas lâcher. Dans la tête, on y est. Parler de maintien nous a mis dans cette situation, où l'on n'avait pas d'autre choix que de bosser. Dans le groupe, les leaders ont pris la main. Maintenant, c'est reparti."
Tom DELEUZE
Demi d'ouverture et arrière de l'USON Nevers Rugby
